Camille. K

On dit, que dans une vie, une perte n'est rien, que chaque chose a son temps de vécu, et qu'un beau matin la mort décide de venir nous l'arracher pour l'emporter avec elle pour un monde inconnu, inattendu et qui sait, merveilleux. Mais la question est là, qui a raison, les prêtres vivant dans leurs monastère, reclus de toute culture, ne vivant que pour leur croyance, et ne voulant imaginer une possibilité autre que celle d'un homme arrivé de nul part leur dictant comment agir, comment prier, comment manger, quand, et quoi. Que le vin que l'on bois n'est pas du vin mais le sang d'un homme, que le pain que nous mangeons n'est pas du pain mais le corps. Alors que croire?
Quand depuis votre enfance on vous inculque à l'inverse de la raison, une croyance que vous même vous ne pouvez vous imaginez réel. Quand, durant votre enfance, lorsque vous voyez une étrange boîte, renfermer le corps de votre mère, descendre dans un trou pour la renfermer pour l'éternité, lorsque que dans cet assembler seulement vous, avez les yeux remplit de larme, avec cette seul idée en tête, pour une enfant de seulement huit ans, crier, crier au ciel qu'il n'avait pas le droit de la prendre, qu'elle était à vous, que c'était votre maman. Les Hommes présent ne versant pas une larme, souriant même par moment, me répétant qu'elle est dans un monde meilleur, que ce Dieu, qui se permet de ôter la vie en un claquement de doigt, avait besoin d'elle à ses côtés. Et moi alors. Je n'en avait pas besoin? Surement qu'il n'en voyait pas l'utilité.
Comment croire à de tel supercherie, être heureux qu'une personne meurt juste car dans votre esprit, elle est partit au paradis. Mais pour moi, rien de tel existait. Personne en haut ne m'attendais, elle avait juste disparue de ma vie à tout jamais, alors que je n'avait que huit ans...

Vivant dans un petit village d'Irlande, le temps n'était pas toujours au beau fixe mais après tout peu m'importait. En effet, qu'il pleuve, qu'il vente, lorsque l'on est habitué à la pluie rien ne nous empêche de sortir pour devenir un démon de la nuit. Les soirées de folie, les étranges cigarettes qui vous font tourner la tête s'introduisant dans mon organisme n'avait jamais cesser de me plier aux caprices de mon père. Pour lui, la confession était la première chose que je devait faire avant d'aller à la messe, pour les rare occasion où j'y allais, n'ayant pas trouver d'excuse valable. Pourquoi se rendre en ses lieux, si aucune croyance fait partit de nous? Et pourtant, son regard s'éclairait lorsqu'il me voyait sortir de ce rideau, pensant que je mettais confesser. Mais se qu'il ne savait pas, était que la celle chose que j'avais fait était de raconter les pires horreurs, ce même prêtre qui avait annoncer dix ans auparavant que ma mère était partit rejoindre ce Dieu. Je lui en voulais, mais je n'étais pas de ceux qui se battait, non, jamais je ne mettais battu, je me contentais de mentir, et cela m'amusais, surtout quand cet homme me croisait en dehors de l'église, et me lançais des regards remplit de questions à l'idée de se que j'aurais pu faire. « Pardonner moi mon père, parce que j'ai pécher, j'ai eu des pensés indigne de dieu, mais pardonner moi, je le trouvais tellement attirant... » ce genre de phrase le rendait perplexe, il ne savait plus quoi me répondre, et se contentait de me laver de mes « faux »-pêchers.
Mais un beau jour, on doit répondre de ses actes, quand on vient à vous enlever la dernière chose qu'il vous fait tenir sur cette Terre. Le jour où votre téléphone sonne en plein cours de droit, et qu'une voix, vous annonce qu'une voiture d'un homme complètement ivre, à prit la vie de votre père... Je venais à regretter tout se dont je n'avais pas partager à ses côtés, avoir fait le mur pour aller faire la fête et s'éterniser entre les bras d'une simple cigarette magique. Si il savait que je n'étais la petite fille parfaite, si il savait, mais justement, il ne saura plus. Et tout recommença, le baratin de cet homme de foi, qui disait que mon père était partit le rejoindre, et patati et patata. Je n'en pouvait plus, je n'avais qu'un an de moins que maintenant, et pourtant, dans mon regard bleu azure, emplit de larme, roulant sur mes joues roses et douce, la colère m'envahissait, pourquoi raconter toute ses conneries à longueur de temps? Pour que l'être humain soit excuser de tout ses faits et gestes de travers? Il ne s'agit donc que de fuir toute réalité ? Passant une main dans mes cheveux bruns, je ne pu empêcher les mots sortir de ma gorge, après tout plus rien ne me retenait ici, alors je pouvais tout dire, avant de partir pour l'Angleterre. Une nouvelle force grandissait en moi, je murissais, je changeais, autant dans mon esprit qui devenait adulte, que plus en profondeur. Le regard de toute l'assemblé se tournait vers moi alors que je disais tout se dont je pensais de se dieu, pour moi, inexistant. Je me souviens encore de la voix de ce prêtre qui avait mille fois crier mon nom alors que je partais sans me retourner. Rentrant chez moi, je faisais ma valise, prenait le nécessaire, ainsi que la photo de mariage apposer sur le meuble du salon, et la glissait dans mon sac. Puis partit pour une vie différente, une vie à moi, une vie que jamais je n'aurais pu imaginer.

Voici un an, que je ne suis pas retourné dans cette ville Irlandaise, un an que je n'ai pas revu mon ancienne maison, mes anciens amis, et un an que je n'avais pas retoucher à toutes ses dépendances qui envahisse votre esprit, vous donnant l'impression de voler. Mais d'autres choses on changer durant mon voyage vers l'Angleterre, non seulement mon corps qui c'était transformé en femme d'un mètre soixante cinq, avec de nouvelle forme plus dessiner, et séduisante, des hanches tailler avec délice, des seins aux forme dévastateur, faisan chavirer plus de voyageur que je l'aurais voulu, et un caractère plus posé, mais également plus affirmé qu'il y a quelque années. Une âme plus joueuse, plus provocatrice, restant dans le sérieux et la douceur. Mais également une nouvelle force qui m'avait effrayer... La colère avait-elle fait apparaître un don, un pouvoir chez moi? Je ne savait comment, une flamme était née de mes mains, sans me brûler, m'apportant seulement une douce chaleur, dans cet hôtel d'Angleterre. Et me faisant sursauter, le directeur de la chambre frappant à la porte, me rappelant la règle trois qui était inscrite au mur du couloir, m'avertissant qu'il était interdit de fumé, me fit éteindre la flamme entre mes mains. Mais bien entendu comment faire croire à un individu que l'on ne fume pas, alors que le détecteur de fumé avait détecter de la fumé venant de ma chambre.
Je ne revis plus de flamme aussi étrange apparaître entre mes mains, à croire que je suis folle...

Installer dans une petite maison d' Heaven's Dark, j'exerce depuis quelque mois le poste d'avocate, et cela me convient très bien. Essayant d'oublier mon passer, mes erreurs, je commence une nouvelle vie, plus mouvementé que je le voudrais....
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